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Monday, April 26, 2010

Federer and Nadal: the last reunion.

Lors de leur dernière confrontation, en finale du tournoi sur 
terre battue de Madrid,en mai 2009, Roger Federer avait dominé Rafael 
Nadal, 6-4, 6-4.


During their last confrontation, in the final tournament on clay in Madrid in May 2009, Roger Federer dominated Rafael Nadal, 6-4, 6-4.Keywords: Tennis, Tennis, ROME, ROME, Rafael Nadal, Roger Federer, Rafael Nadal, Roger Federer.

Les deux champions, qui ne sont pas affrontés depuis un an, sont à Rome cette semaine.

Une odeur de peinture fraîche flotte encore au Foro Italico, autour de la grande cuvette en béton que constitue le nouveau court central. Le Masters 1000 de Rome s'est doté d'un nouveau terrain d'une capacité de 10 500 places, qui pourrait être, samedi prochain, le théâtre du premier match depuis presque un an entre Roger Federer et Rafael Nadal. Souvenirs. Le 17 mai 2009, les deux hommes s'affrontent en finale à Madrid. Sur terre battue, le Suisse domine alors (6-4, 6-4) l'Espagnol, il est vrai fatigué par un combat homérique de plus de quatre heures, la veille, pour écarter Djokovic…
Évidemment, ces retrouvailles au sommet (prévues en demi-finale) sont encore loin. Hypothétiques. Mais elles aimantent déjà toutes les discussions. Après avoir fait une pause dans la foulée de la tournée américaine sur ciment - tout en continuant à s'entraîner dur… -, c'est ici que Roger Federer va débuter sa saison terrienne. Le Suisse est arrivé en milieu de semaine dernière pour s'acclimater aux conditions et il avait déjà foulé la terre du nouveau central que Nadal était encore chez lui, après un forfait douloureux mais prudent à Barcelone, destiné à ménager sa monture.

Djokovic et Verdasco en contrepoids :
Si une infection pulmonaire lui avait un peu coupé le souffle à la fin de l'hiver dernier et que sa tournée américaine a été décevante, Federer aura pourtant rarement été dans un contexte aussi favorable au moment d'aborder la partie la plus difficile de la saison pour lui. En début d'année, le numéro un mondial a installé sa domination en ajoutant à Melbourne un seizième Grand Chelem à son palmarès. Et il est aussi, pour la première fois, le champion sortant de Roland-Garros. «Évidemment que les données sont différentes, confirme le Suisse en souriant. Cette année, toutes les questions ne vont pas commencer par «alors est-ce que vous pensez que vous allez enfin gagner Roland-Garros cette année ?» Et, maintenant que je l'ai fait une fois, je sais que je peux le refaire …»
Nadal, de son côté, est dans une phase de reconquête. Mais ne lui dites pas. Sinon le garçon placide qu'il est en dehors du court voit rouge. «Je joue à mon niveau depuis le 1er  janvier», martelait-il à Monte-Carlo. Grand seigneur, Roger Federer vole au secours de son jeune rival. «Je trouve qu'il y a eu trop de commentaires négatifs autour de Rafa», juge-t-il. Il est vrai que, si le Majorquin n'a battu qu'un seul membre du «Top Ten» (Jo-Wilfried Tsonga en l'occurrence) depuis bientôt un an, son triomphe il y a deux semaines à Monte-Carlo - le sixième d'affilée ! - l'a replacé sur son trône de souverain de la terre battue. Et aura forcément un impact sur le mental de ses futurs adversaires, auprès desquels sa réputation d'invincibilité était écornée.
Si les deux protagonistes se concentrent sur leurs premiers matchs et refusent de voir aussi loin, leurs possibles retrouvailles en demi-finale sont d'autant plus attendues que les forfaits successifs de Juan Martin Del Potro, Nikolaï Davydenko et Andy Roddick ne laissent que les ambitions d'un Novak Djokovic ou d'un Fernando Verdasco (victorieux hier du tournoi de Barcelone aux dépens du Suédois Soderling 6-3, 4-6, 6-3) comme contrepoids à l'axe Federer-Nadal. Rentre également en ligne de compte l'historique local des deux protagonistes, qui signèrent ici, en 2006, l'une des finales les plus intenses de l'histoire du tournoi, qui s'acheva après plus de cinq heures d'un combat intense.
Ce serait évidemment un beau symbole si le Suisse et l'Espagnol baptisaient le nouveau stade avec un nouveau classique. Presque douze mois après cette fameuse finale du Masters 1000 de Madrid où, à une semaine de Roland-Garros, Nadal avait concédé sur sa surface de prédilection une défaite prophétique. Avant de perdre sa couronne porte d'Auteuil. La boucle est presque bouclée…
Dimanche (1er tour) : Chardy (Fr) bat Tipsarevic (Ser) 6-4, 6-4.

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